tout de suite,

des ressources!

Comment vivre décemment en l’an 2000 avec une allocation chômage ? Ou avec un emploi à temps partiel contraint, de plus en plus souvent à durée déterminée ? Comment vraiment, dans ces conditions, faire des projets au plan professionnel et personnel ?

Le patronat, singulièrement le MEDEF du baron Seillière, s’en moque comme d’une guigne !

Il veut, au contraire, carrément faire sauter ce qui reste d’acquis, de protections, rendant cette société encore plus invivable. Comme le remarque l’APEIS, une association de privés d’emploi : « Les patrons veulent pouvoir embaucher, licencier, payer, indemniser, punir comme ils le souhaitent. Le MEDEF veut tout, tout de suite. »



Tous ensemble le 20 mai

Pour un printemps populaire

Les revendications des privés d’emploi, des mouvements sociaux et citoyens contribuent à faire reculer les inégalités. Loin de gêner la majorité plurielle au pouvoir, au contraire, elles la poussent à de nouveaux choix. Pour lutter contre les intérêts très puissants qui provoquent l’aggravation de toutes ces inégalités – les injustices sociales comme les discriminations de toute nature – on n’y parviendra pas à quelques-uns. D’où la proposition du Parti communiste : s’y mettre tous ensemble.



Grande manifestation nationale des chômeurs et des précaires pour des droits et des moyens d’existence,
le samedi 20 mai à Paris
(place de la République à 13 heures).



Pour contacter les communistes du 5e arrondissement :

42, rue Mouffetard, 75005 Paris (01 43 37 44 19, pcf.paris.5@online.fr)